Benjamin Stora n'a pas émis d'opinion personnelle tout au long des 49 parcours du Hirak ni celle sur la main mise politique de l'armée probablement de peur d’être "bastonner" par le pouvoir. Son silence a intrigué plus d'un dans le microcosme intellectuel des deux rives. Une fois les urnes de la présidentielle se sont exprimées et Gaid Salah n'est plus là, il fait l'éloge du Hirak. Était-il entre le marteau du système et l'enclume du mouvement social pour s'exprimer en son âme et conscience sur une vérité et une utopie. .
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Benjamin Stora: « L’Algérie est une société du refus »
Réduire
X
-
N'importe quoi il n'est ni en face du marteau, ni de l'enclume ni de la batata/hlib.
C'est un historien factuel, qui dit les choses avec un peu de retard, car il vérifie ses informations.“Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.
Commentaire
-
chifni de la batata/hlib.
chifC'est un historien factuel, qui dit les choses avec un peu de retard, car il vérifie ses informations.
Il n'invente rien. Il n'y ajoute aucun sentiment.
Il est factuel et objectif. C'est ça le vrai travail scientifique !Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !
Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.
Commentaire
-
L'historien suisse Marc Perrenoud- né à Oran d'un père pasteur dans cette cité- en connaît tout autant sur l'Algérie que Benjamin Stora.
- Le 8 mai 1945, c’est aussi la répression sanglante des protestations à Sétif, en Algérie, les prémices de la guerre d’indépendance…
– Oui, mai 1945, c’est aussi les débuts de la décolonisation. Les services de Max Petitpierre, celui qui, plus tard, permettra les contacts secrets en Suisse entre le FLN et les émissaires du général de Gaulle, reçoivent un témoignage direct des événements.
Le sous-directeur de la Compagnie genevoise des colonies suisses de Sétif, Gustave de Pourtalès, se trouvait à proximité de Sétif. Il adresse une lettre au consul général de Suisse dans laquelle il raconte sa frayeur et où, de manière extrêmement intéressante, il parle de la situation comme d’un «volcan mal éteint».
Les revendications américaines sont vues comme un «véritable plan de guerre économique »
Le Temps.ch
Commentaire
-
" C'est un historien factuel, qui dit les choses avec un peu de retard, car il vérifie ses informations. "
Le natif de Constantine (Stora) se complaît davantage dans la rhétorique que dans d'apports nouveaux de la question algérienne.
L'aspect pécuniaire est primordial pour lui et d'où sa pléthorique bibliographie envers l'Algérie.
A l'inverse, son secours est précieux comme au reste celui de l'avocate Gisèle Halimi pour démentir certains colportages de juifs-algériens signifiant une interdiction d'entrée en Algérie en raison de leur religion (Cf. Enrico Macias).
Commentaire
Commentaire